PICASSO-MAGICIEN-2013: février 2014

UNE DES FEMMES D'ALGER PEINTES EN 1834 PAR EUGENE DELACROIX SERAIT VISIBLE DANS LES OEUVRES DE PICASSO.

Pour guider le regard de celles et ceux qui le souhaitent : observer les lignes de chaque œuvre de PICASSO et les confronter aux lignes situées aux mêmes emplacements dans la composition de la "Femme d'Alger". peinte en 1834 par Eugène DELACROIX. Mes dessins signés jp montrent comment ces lignes se confondent quand les œuvres sont superposées.

CHAPITRE 32

Sommaire

1: Année 1949 Photographies de Gjon Mili

2: Année 1937 Femme qui pleure

3: Année 1937 Tête de cheval

4 et 5: Année 1937 Tête de femme en pleurs
6: Année 1930 Femme aux pigeons

1. Les photographies de Gjon Mili (1949)

Dans cette séquence, il n'y a qu'une ligne à suivre d'une extrémité à l'autre.

Sur mon dessin le tracé est repassé en bleu pour mieux visualiser à quels endroits de la "Femme d'Alger" cette ligne passe.

1 Centaure

mise en miroir pour voir

le dessin réalisé par Picasso dans l'espace

avec une lampe électrique

dans l'obscurité totale

2 Acrobate

3 Le taureau

photographie mise en miroir

pour la confrontation

4 Hibou sur une chaise

Hibou sur une chaise difficile à distinguer

Plus facile dans la suite

un hibou perché sur une chaise en 1947

puis un autre

Suivi du tracé mis en mots:

Le point blanc au centre haut est le début de la ligne continue non interrompue tracée par Picasso et dont la forme générale évoque une ellipse inclinée sur sa gauche ou un hibou comme celui gravé ci-dessous en 1947. Ce début du tracé serait situé sur la poitrine de la "Femme d'Alger". Il va contourner un sein puis va s'agrandir, faire deux fois le tour du torse, s'agrandir encore pour entourer la moitié gauche du corps jusqu'à rencontrer la cuisse, virer alors à gauche remonter à la verticale jusqu'au front puis redescendre verticalement jusqu'à la cuisse qu'il va commencer par longer pour terminer la moitié droite du corps; va longer ensuite son bras gauche puis tourner deux fois autour de l'aisselle et terminer enfin sa course sur l'œil après avoir contourné l'épaule gauche.